Tuesday, February 23, 2016

L'Islam a aboli les orgies et toute forme de contrats de mariages obscènes | Islam Abolished Orgies and All Form of Dirty Marriage Contracts

[Français]

Rapporté par `Urwah bin Zubayr : `Â’ishah, l’épouse du Prophète (ﷺ) lui a dit qu’il y avait quatre types de mariage durant la période préislamique de l’ignorance;

1) Un de ces types (de mariage) était semblable à celui d’aujourd’hui c.-à-d. un homme demandait à quelqu’un d’autre pour la main d’une fille sous sa tutelle ou pour la main de sa fille, et donnait le Mahr et ensuite l’épousait.

2) Le deuxième type (de mariage) était qu’un homme disait à sa femme après qu’elle était devenue propre (à la suite de) ses menstrues : « Envoie pour untel et aie des relations sexuelles avec lui. » Son mari restait donc loin d’elle et ne couchait jamais avec elle jusqu’à ce qu’elle tombait enceinte de l’autre homme avec lequel elle avait couché. Lorsque sa grossesse était devenue évidente, son mari couchait avec elle s’il le souhaitait. Son mari faisait cela (c-à-d. laisser sa femme coucher avec un autre homme) pour qu’il puisse avoir un enfant d’une noble race. Ce type de mariage s’appelait Al-Istibdâ`.

3) Un autre type de mariage était qu’un groupe de moins de dix hommes se rassemblait et (allait voir) une femme, et chacun d’eux avait des relations sexuelles avec elle. Si elle était devenue enceinte et accouchait d’un enfant et quelques jours s’étaient écoulés après l’accouchement, elle les faisait tous venir et aucun d’entre eux ne refusait de venir, elle leur disait : « Vous savez (tous) ce que vous avez fait, et maintenant j’ai donné naissance à un enfant. Donc, c’est ton enfant, untel! » Elle nommait quiconque elle voulait, et son enfant l’accompagnait et il ne pouvait pas refuser de le prendre.

4) Le quatrième type de mariage était que plusieurs gens allaient voir une femme et elle ne refusait jamais à personne qui venait à elle. Celles-là étaient les prostituées qui fixaient des drapeaux à leurs portes comme signe, et celui qui le souhaitait, pouvait avoir des relations sexuelles avec elles. Si l’une d’entre elles était tombée enceinte et avait accouché d’un enfant, alors tous ces hommes étaient réunis pour elle et ils faisaient venir les Qa’if (personnes douées pour la reconnaissance de la ressemblance d’un enfant à son père) à eux et laissaient l’enfant accompagner l’homme (qu’ils ont reconnu comme étant son père) et elle le laissait adhérer à lui et se faire appeler son fils. L’homme ne refusait pas du tout.

Mais lorsque Muhammad (ﷺ) a été envoyé avec la Vérité, il a aboli tous les types de mariages observés durant la période préislamique de l’Ignorance à l’exception du type de mariage que les gens reconnaissent aujourd’hui.

[Réf : Sahîh al-Bukhârî 5127]

Une fois de plus, l’Islam démontre comment il abolit le mauvais traitement des femmes et la pratique de les traiter comme une marchandise, comme les prétendants du monde moderne et libre le font en utilisant des femmes nues dans les publicités de savons, etc.


- Why The Shariah

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[English]

Narrated 'Urwa bin Az-Zubair: 'Aishah, the wife of the Prophet (ﷺ) told him that there were four types of marriage during Pre-Islamic period of Ignorance. 

1) One type was similar to that of the present day i.e. a man used to ask somebody else for the hand of a girl under his guardianship or for his daughter's hand, and give her Mahr and then marry her. 

2) The second type was that a man would say to his wife after she had become clean from her period. "Send for so-and-so and have sexual intercourse with him." Her husband would then keep awy from her and would never sleep with her till she got pregnant from the other man with whom she was sleeping. When her pregnancy became evident, he husband would sleep with her if he wished. Her husband did so (i.e. let his wife sleep with some other man) so that he might have a child of noble breed. Such marriage was called as Al-Istibda'. 

3) Another type of marriage was that a group of less than ten men would assemble and enter upon a woman, and all of them would have sexual relation with her. If she became pregnant and delivered a child and some days had passed after delivery, she would sent for all of them and none of them would refuse to come, and when they all gathered before her, she would say to them, "You (all) know waht you have done, and now I have given birth to a child. So, it is your child so-and-so!" naming whoever she liked, and her child would follow him and he could not refuse to take him. 

4) The fourth type of marriage was that many people would enter upon a lady and she would never refuse anyone who came to her. Those were the prostitutes who used to fix flags at their doors as sign, and he who would wished, could have sexual intercourse with them. If anyone of them got pregnant and delivered a child, then all those men would be gathered for her and they would call the Qa'if (persons skilled in recognizing the likeness of a child to his father) to them and would let the child follow the man (whom they recognized as his father) and she would let him adhere to him and be called his son. The man would not refuse all that. 

But when Muhammad (ﷺ) was sent with the Truth, he abolished all the types of marriages observed in pre-Islamic period of Ignorance except the type of marriage the people recognize today.

[Ref: Saheeh al-Bukhaari 5127]

Once again Islam shows how it abolishes the misuse of women, and the practise of treating them like a commodity the way the claimants of modern free world do by using naked women even in soap commercials and etc. 


- Why The Shariah



Sunday, February 21, 2016

Comment l'Islam a traité un violeur qui avait échoué dans son crime contre une esclave | How Islam Treated a Rapist Who Failed in His Crime Against a Slave

[Français]

`Abdur Razzâq dans son Musannaf et al-Bayhaqî dans son Sunan ont rapporté qu’un homme avait accueilli des gens de Hudayl. Ils ont envoyé une esclave pour aller chercher du bois de chauffage et l’hôte était attiré par elle, alors il l’a suivie et a voulu agir à sa guise avec elle, mais elle a refusé. Il a lutté avec elle pendant un moment, puis elle s’est échappée de lui et lui a lancé une pierre et l’a tué. Ses maîtres sont allé voir `Umar et lui ont informé de la situation. `Umar a envoyé des enquêteurs qui ont trouvé leurs traces et (ont affirmé ce que la femme avait dit). Par la suite, `Umar a dit : « Aucune Diyyah (ou Qisâs – expiation en termes de prix du sang ou etc.) n’est à être payée pour celui qui a été tué par Allah »

Leçons :

Il a considéré comme légitime d’avoir versé le sang de l’agresseur qui a voulu la violer. Donc, il n’y aurait pas de Qisâs (représailles des membres de la famille de l’homme) ou de Diyyah (compensation) et aucune expiation ne devait être offerte.

Cela démontre comment l’Islam traitait les esclaves, quelque chose d’unique aux Musulmans à une époque où l’esclavage était aussi répandu que l’iPhone aujourd’hui.


- Why the Shariah

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[English]

Abdur Razzaq in his Musannaf and al-Bayhaqi in his Sunan narrated that a man hosted some people from Hudayl. They sent a slave woman to fetch some firewood and the host was attracted to her, so he followed her and wanted to have his way with her but she refused. He wrestled with her for a while, then she escaped from him and threw a rock at him and killed him. Her masters went to `Umar and informed him of the situation. `Umar sent investigators who found their tracks and (affirmed what the woman said) thereafter `Umar said “ No diyah (or qisas - expiation in terms of blood money or etc) is to be paid for the one who was Killed by Allah” 

Lessons 

He regarded it as legitimate to have shed the blood of that aggressor who wanted to rape so there would be no qisas (retaliation from the relatives of the man) or diyah (compensation) and no expiation was to be offered.

Shows how Islam treated slaves , something unique to Muslims in an era where slavery was as widespread as iphone today


- Why the Shariah


Sunday, February 14, 2016

Le statut de la célébration de la Saint Valentin | Ruling On Celebrating Valentine's Day

Français: Veuillez noter que l'article suivant est divisé en deux partie; la version française qui est affiché au début et la version anglaise qui la suit.

English: Please note that the below article is divided into two parts; a French version displayed first and an English version following it.

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[Français]

Le statut de la célébration de la Saint Valentin

Comment juger la célébration de la fête de l'amour?

Louanges à Allah

Premièrement, la fête de l'amour est une fête romaine antéislamique. Sa célébration était perpétuée jusqu'à la conversion des Romains au Christianisme. A partir de ce moment, la fête fut liée au nom d'un évêque du nom de Valentin qui fut condamné à mort le 14 février de l'an 270 AC. Depuis lors, les mécréants célèbrent cette fête et s'y livrent à la débauche et à des actes condamnables.

Deuxièmement, il n'est pas permis au musulman de célébrer une fête des mécréants car la fête est régie dans la loi religieuse par des textes qu'on doit appliquer.

Cheikh al-islam Ibn Taymiyyah (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) dit: «Les fêtes sont soumises à la loi religieuse et  elles doivent s'inscrire dans la voie et les réglements à propos desquels Allah le Transcendant dit: « À chacun de vous Nous avons tracé un itinéraire et établi une règle de conduite qui lui est propre  » et dit: «À chaque communauté Nous avons institué un ensemble de rites qu’elle doit observer .»

C'est comme la détermination de la quibla, l'observance de la prière et du jeûne. Il n' y a aucune différence entre la participation aux fêtes des mécréants et le pratage de leurs lois et réglements et leurs méthodes d'application. L'approbation de toutes les manifestations de la fête implique l'approbation de la mécréance. Une approbation partielle des aspects de la fête est une approbation de certaines manifestations de la mécréance. Mieux, les fêtes occupent une place particulière dans les législations religieuses. Elles en constituent des rites caractéristiques destinctifs. Leur approbation revient à approuver les lois qui les sou tendent. Attiude qui pourrait finir par entraîner ceux qui l'adoptent dans une sorte de mécrance.

Au début l'attitude en question constitue, dans le pire des cas, un acte de desobéissance envers Allah. C'est à propos de cet aspect particulier que le Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) dit: «Certes, tout peuple a une fête et celle-ci est notre fête à nous.»

L'adoption des fêtes des mécréants est pire que l'adoption de leurs tenues vestientaires , notamment le port de la ceinture ( tenue réservée aux protégés des musulmans) et  d'autres signes des non musulmans. Ces signes ont été adoptés dans le simple dessein de distinguer entre le mécréent et le musulman mais ils ne font pas  partie de la relgion. Quant à la fete et les manifestions qui l'accompangent, elles relèvent de la religion qui est l'objet d'une malédicton comme ses adpetes. Partager cela avec eux, c'est partager ce qui les distinguent y compris ce qui leur vaut le dépit d'Allah et Son châtiment.» Extrait de Iqtidhaa as-sirat al-moustaquim,1/207.

Ibn Taymiyyah (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) dit encore: «Il n'est pas permis aux musulmans d'imiter les non musulmans dans une pratique relative à leurs fêtes; ni la préparation de mets, ni le port de vêtements, ni la prise d'un bain , ni l'allumage de feux, ni la cessation d'une activité habituelle ou cultuelle ou autre. Il n'est pas permss d'organiser une cérémonie, ni de distribuer des cadeaux, ni de  vendre des objets utilisés dans la célébration de la fête, ni de permettre aux enfants de participer aux jeux organisés à cette occasion, ni de leur permettre de se parer particulièrement.

En somme, les musulmans ne doivent pas participer à l'un quelconque des rites qui marquent les fêtes des non musulmans. Les jours de fête de ceux-ci doivent passer comme les autres jours pour les musulmans sans être marqués par une pratique particulière de la part des musulmans.» Extrait de Madjmou' al-Fatawas,25/329.

Al-Hafidz adh-Dhahbi (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde): «Quand il y a une fête pour les Chrétiens , une fête pour les Juifs qui revêtent dans les deux cas un caractère communautaire, il n'est pas permis aux musulmans d'y participer comme il ne leur est pas permis de partager les pratiques religieuses des deux commaunautés.» Extrait de Tashbiih al-khississ bi ahl al-khamis, une publication de la revue al-hikmah,4/193.

Le hadith auquel Cheilh al-islam a fait allusion a été rapporté par al-Bokhari (952) et par Mouslim (892) d'après Aicha (P.A.a) qui a dit: « Abou Baker arriva chez moi au cours d'un jour de fête alors que deux fillettes chantaient les propos  que les Ansar (habitants autochthones de Médine) échangeaient le jour de la bataille dite Bouath- les fillettes n'étaient pas des chanteuses- Abou Baker dit: tu laisses entonner des chants sataniques dans le maison du Messager d'Allah (Bénédiction et salut soient sur lui)?! Ce dernier dit: ô Abou Baker! certes , tout peuple a un jour à fêter. Aujourd'hui est notre jour de fête.»

Abou Dawoud (1134) a rapporté qu'Anas (P.A.a) a dit: «Le Messager d'Allah (Bénédiction et salut soient sur lui) arriva à Médine à un moment où  les autochtones avaient deux jours de réjouissance. Il leur dit: «quels sont les deux jours?» Ils disent: «nous nous y livrions à des jeux à l'époque antéislamique.» Le Messager d'Allah (Bénédiction et salut soient sur lui)  reprit: « Certes , Allah vous les a remplacé par des jours meilleurs: le jour du Sacrifice et le jour de la Rupture du jeûne ( de Ramadan). Ce hadith a été jugé authentique dans le Sahih d'Abou Dawoud. Ceci signifie que la fête relève des activités marquant l'identité communautaire et qu'il n'est pas permis de célébrer des fêtes remontant à l'époque antéislamique et des fêtes des polythéistes. Les ulémas ont émis une fatwa interdisant la célébration de la fête de l'amour.

1. Cheikh Ibn Outhaymine (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) a été interrogé en ces termes: « Il est répandu en ces derniers temps la célabration de la fête de l'amour en milieu étudiant. Cette fête est chrétienne. Les étudiantes concernées s'y habillent  complètement en rouge et échangent des fleurs rouges. Nous espérons de revoir de votre éminence un éclairage à propos de la célébration de cette fête et des orentiions au profit des musulmans au sujet de ces affaires. Puisse Allah vous garder.»

Voici sa réponse: «Il n'est pas permis de participer à la fete de l'amour pour les considérations que voici: la première est que c'est une innovation sans fondement dans la loi religieuse. La deuxième est que c'est une incitation à l'entretien de relations amoureuses. La troisième est qu'il s'agit de s'occuper de futilités contraires aux enseignelents des ancêtres pieux (Puisse Allah les agréer).

Il n'est pas permis d'observer en ce jour un des rites marquant la célébration de la fête, qu'il s'agisse de repas, de boisson ou du port d'une  tenuee, d'échange de cadeaux ou d'autres. Le musulman doit rester fier de  sa foi et éviter répondre inconsciemment à tout appel. Je demande à Allah Tèrs Haut de protéger les musulmans contre toute tentation apparente ou cachée, de s'occuper de nous et de nous assister." Extrait de Madjmou' Fatawa Cheikh Ibn Outhaymine (16/199).

2. La Commission Permanente a été interrogée en ces termes: «Des gens célébrent la Saint Valentin le 14 févirer de chaque année. Ils s'y échangent des fleurs rouges et s'ahbillent en rouge, se congratulent mutuellement. Certaines patisseries y confectionnent des gâteux rouges sur lesquels on dessine le coeur. Des magasins insèrent dans leurs machandises des publicités concenant ce jour.. Que pensez vous de ce qui suit:

Premièrement la célébration de ce jour.

Deuxièmement, faire des achats dans les magasins porteurs de publicités liées à la fête.

Troisièmement, le fait que des propriétaires de magasin qui  ne participent pas à la fête  vendent  des cadeaux utilisés à cet effet.»

Voici  sa réponse: «Les arguments claires tirés du livre et de la Sunna et admis unanimement par les ancêtres pieux de la Umma indiquent que l'islam possède deux fêtes: celle qui marque la fin du Ramadan et celle dite la fête du Sacrifice. Toutes les autres fêtes, qui concernent soit une personne ou un groupe ou un évènement ou revêtent une signification quelconque, constituent des fêtes innouvées qu'il n'est pas permis aux mausulmans d'adopter  ou d'approuver ou de s'y réjouir manifestement ou d'aider à leur célébration. En effet, cela consitue une transgression des limites établies par Allah. Or celui qui trangresse les limites établies par Allah ne le fait qu'à son détriment. Si la fête innouvée est de surcroît une fête des mécréants on est alors en face d'un cumul de péchés réusltant du fait de s'assimiler aux mécréants et de s'allier avec eux. Or Allah le Transcendant a interdit dans son précieux livre aux croyants de s'assimiler aux mécréants et de s'allier avec eux. Il a été rapporté du Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) qu'il a dit: « Quiconque s'assimile à des gens en fait partie.»

La fête de l'amour relève de ce chapitre car elle est une fête chrétienne d'orignie paienne. Dès lors, il n'est pas permis à un musulman qui croit en Allah et au jour dernier de s'y livrer  ou de l'approuver ou de congratuler ceux qui la célèbrent. En effet, on doit le cesser , l'éviter  en guise de soumission à Allah et à Son Messager et pout se mettre loin à l'écart de tout ce qui sucite le dépit d'Allah et provoque Son chatiment. De même, il est interdit au musulman d'aider d'une manière quelqconque à célébrer cette fête et d'autres fêtes interdites. Qu'il s'agisse d'apporter de la nourriture, des boissions, ou de la vente , de l'achat, de la fabrication d'articles, d'écahnge de cadeaux ou de rédiger des correpondances, de confectionner des publicités ou d'autres car tout cela relève de la coopération dans le péché et la transgression et la désobéissance à Allah et à Son Messanger. Or Allah, l'Auguste et le Majestueux dit: «Ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression.»(Coran,5:2). Le musulman doit se cramponner au livre et à la Sunna dans tous les cas, notamment  en temps de troubles et recrudescence de la débauche. Il doit rester vigilant pour éviter de tomber dans les aberrations  de ceux qui encourent la colère ( de Dieu), les égarés et pervers; ceux qui ne s'attendent pas à rencotrer Allah et ne se soucient guère de l'islam. Le musulman doit se refugier auprès d'Allah Très Haut pour demander à être bien guidé et raffermi dans la voie droite car Allah reste le seul guide capable de raffermir les guidés. Allah est le garant de l'assistance. Puisse Allah bénir et saluer notre Prophète Muhammad, sa famille et ses compangons.»

3.Cheikh Ibn Djabrine (Puisse Allah le protéger) a été interrogé en ces termes: « Il est répandu parmi nos jeunes garçons et filles la célébration de la Saint Valentin du nom d'un évêque chrétien. Ils célèbrent cette fête le 14 février de chaque année et y échangent des cadeaux et fleurs rouges et s'y habillent en rouge. Comment juger  ces manifestations? » Voici sa réponse:

Premièrement, il n'est pas permis de cémébrer ces fêtes innovées car il s'agit d'une invention sans fondement dans la loi religieuse. La pratique est donc inclue dans le cahmps d'application du hadith d'Aicha (P.A.a) selon lequel le Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) a dit: « Quiconque introduit dans notre ordre un élément étranger son acte sera rejeté" C'est-à-dire que l'élément introduit ne sera pas accepté

Deuxièmement, il s'agit de s'assimiler aux mécréants et de les imiter  en vénérant  ce qu'ils vénèrent et en respectant leurs fêtes et cérémonies et partant en adoptant leur religion. Or un hadith dit: « Celui qui s'assimile à des gens en fait partie.»

Troisièmement, la célébration de la fête entraîne des dégâts et des inconvénients comme des jeux et activités ludiques, des chants, des danses indécentes, de l'exhibistionnisme, du vagabondage, d'une coohabition plus que doutuse entre hommes et femmes, entre autres pratiques interdites ou susceptibles de faire tomber dans des turpitudes ou des situations qui les favorisent. Ce qui ne saurait être justifé par le désir de se distraire et de se dévertir tout en veillant à le faire de manière réservée. Ceci n'est pas juste. Celui qui veut rester honnête avec lui-même doit s'éloigner des péchés et de tout ce qui peut y conduire.» Le même chiekh (Puisse Allah le protéger) dit encore: « Cela dit, il n'est pas permis de vendre des cadeaux, notamment des roses tout en sachant que l'acheteur va les utiliser dans la célébration de ces fêtes ou les acquère pour en faire des cadeaux ou pour marquer sa vénération des ces jours. Il faut que le vendeur évite de s'associer au péché commis par les inintiateurs de ces innovations.

 Allah le sait mieux.

Islam Q&A
 
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[English]
 
Ruling On Celebrating Valentine's Day
 
What is the ruling on Valentine's Day?
 
Praise be to Allaah. 
 
Firstly: 

Valentine’s Day is a jaahili Roman festival, which continued to be celebrated until after the Romans became Christian. This festival became connected with the saint known as Valentine who was sentenced to death on 14 February 270 CE. The kuffaar still celebrate this festival, during which immorality and evil are practised widely.

Secondly: 

It is not permissible for a Muslim to celebrate any of the festivals of the kuffaar, because festivals come under the heading of shar’i issues which are to be based on the sound texts. 

Shaykh al-Islam Ibn Taymiyah (may Allaah have mercy on him) said: Festivals are part of sharee’ah, clear way and rituals of which Allaah says (interpretation of the meaning): 

“To each among you, We have prescribed a law and a clear way”
 
[al-Maa’idah 5:48] 
 
“For every nation We have ordained religious ceremonies which they must follow”
 
[al-Hajj 22:67] 

-- such as the qiblah (direction faced in prayer), prayer and fasting. There is no difference between their participating in the festival and their participating in all other rituals. Joining in fully with the festival is joining in with kufr, and joining in with some of its minor issues is joining in with some of the branches of kufr. Indeed, festivals are one of the most unique features that distinguish various religions and among their most prominent symbols, so joining in with them is joining in with the most characteristic and prominent symbols of kufr. No doubt joining in with this may lead to complete kufr.
                                                 
Partially joining in, at the very least, is disobedience and sin. This was indicated by the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) when he said: “Every people has its festival and this is our festival.” This is worse than joining them in wearing the zinaar (a garment that was worn only by ahl al-dhimmah) and other characteristics of theirs, for those characteristics are man-made and are not part of their religion, rather the purpose behind them is simply to distinguish between a Muslim and a kaafir. As for the festival and its rituals, this is part of the religion which is cursed along with its followers, so joining in with it is joining in with something that is a cause of incurring the wrath and punishment of Allaah. End quote from Iqtida’ al-Siraat al-Mustaqeem (1/207). 

He also said (may Allaah have mercy on him): It is not permissible for the Muslims to imitate them in anything that is uniquely a part of their festivals, whether it be food, clothing, bathing, lighting fires, refraining from a regular habit, doing acts of worship or anything else. It is not permissible to give a feast or to give gifts, or to sell anything that will help them to do that for that purpose, or to allow children and others to play games that are part of the festivals, or to wear one’s adornments. 

To conclude: the Mulsims should not do any of their rituals at the time of their festivals; rather the day of their festival should be like any other day for the Muslims. The Muslims should not do anything specific in imitation of them. End quote from Majmoo al-Fataawa (25/329). 

Al-Haafiz al-Dhahabi (may Allaah have mercy on him) said: If the Christians have a festival, and the Jews have a festival, it is only for them, so no Muslim should join them in that, just as no Muslim should join them in their religion or their direction of prayer. End quote from Tashabbuh al-Khasees bi Ahl al-Khamees, published in Majallat al-Hikmah (4/193) 

The hadeeth to which Shaykh al-Islam Ibn Taymiyah referred was narrated by al-Bukhaari (952) and Muslim (892) from ‘Aa’ishah (may Allaah be pleased with her) who said: Abu Bakr came in and there were two young girls of the Ansaar with me who were singing about what had happened to the Ansaar on the day of Bu’aath. She said: And they were not (professional) singing girls. Abu Bakr said: “Musical instruments of the shaytaan in the house of the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him)?!” and that was on the day of Eid. The Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “O Abu Bakr, every people has a festival and this is our festival.”

Abu Dawood (1134) narrated that Anas (may Allaah be pleased with him) said: When the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) came to Madeenah, they had two days when they would play. He said: “What are these two days?” They said: “We used to play on these days during the Jaahiliyyah.” The Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “Allaah has given you instead of them two days that are better than them: the day of al-Adha and the day of al-Fitr.” This hadeeth was classed as saheeh by al-Albaani in Saheeh Abi Dawood.
 
This indicates that festivals are among the characteristics by which nations are distinguished, and it is not permissible to celebrate the festivals of the ignorant and the mushrikeen (polytheists).
 
The scholars have issued fatwas stating that it is haraam to celebrate Valentine’s Day.

1 –Shaykh Ibn ‘Uthaymeen (may Allaah have mercy on him) was asked: 

In recent times the celebration of Valentine’s Day has become widespread, especially among female students. It is a Christian festival where people dress completely in red, including clothes and shoes, and they exchange red flowers. We hope that you can explain the ruling on celebrating this festival, and what your advice is to Muslims with regard to such matters; may Allaah bless you and take care of you.
 
He replied: 

Celebrating Valentine’s Day is not permissible for a number of reasons.
 
1-     It is an innovated festival for which there is no basis in Islam.

2-     It promotes love and infatuation.

3-     It calls for hearts to be preoccupied with foolish matters that are contrary to the way of the righteous salaf (may Allaah be pleased with them). 

It is not permissible on this day to do any of the things that are characteristic of this festival, whether that has to do with food, drinks, clothing, exchanging gifts or anything else.

The Muslim should be proud of his religion and should not be a weak character who follows every Tom, Dick and Harry. I ask Allaah to protect the Muslims from all temptations, visible and invisible, and to protect us and guide us.
 
End quote from Majmoo’ Fataawa al-Shaykh Ibn ‘Uthaymeen (16/199)
 
2 – The Standing Committee was asked: Some people celebrate Valentine’s Day on the fourteenth of February every year. They exchange gifts of red roses and wear red clothes and congratulate one another. Some bakeries make red coloured sweets and draw hearts on them, and some stores advertise products that are especially for this day. What is your opinion on the following:
 
1-     Celebrating this day

2-     Buying things from the stores on this day

3-     Storekeepers who are not celebrating it selling things that may be given as gifts to people who are celebrating it?

They replied:
 
The clear evidence of the Qur’aan and Sunnah – and the consensus of the early generations of this ummah – indicates that there are only two festivals in Islam: Eid al-Fitr and Eid al-Adha. Any other festivals that have to do with a person, a group, an event or anything else are innovated festivals, which it is not permissible for Muslims to observe, approve of or express joy on those occasions, or to help others to celebrate them in any way, because that is transgressing the sacred limits of Allaah, and whoever transgresses the sacred limits of Allaah has wronged himself. If the fabricated festival is also a festival of the kuffaar, then the sin is even greater, because this is imitating them and it is a kind of taking them as close friends, and Allaah has forbidden the believers to imitate them and take them as close friends in His Holy Book. And it is proven that the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “Whoever imitates a people is one of them.” Valentine’s Day comes under this heading because it is an idolatrous Christian festival, so it is not permissible for a Muslim who believes in Allaah and the Last Day to observe it or approve of it or congratulate people on it. Rather he has to ignore it and avoid it, in obedience to Allaah and His Messenger, and so as to keep away from the causes that incur the wrath and punishment of Allaah. It is also haraam for the Muslim to help people to celebrate this or any other haraam festival by supplying any kind of food or drink, or buying or selling or manufacturing or giving or advertising etc., because all of that is cooperating in sin and transgression and is disobedience towards Allaah and His Messenger (peace and blessings of Allaah be upon him). Allaah says (interpretation of the meaning):

“Help you one another in Al‑Birr and At‑Taqwa (virtue, righteousness and piety); but do not help one another in sin and transgression. And fear Allaah. Verily, Allaah is Severe in punishment”
 
[al-Maa’idah 5:2] 

The Muslim must adhere to the Book of Allaah and the Sunnah in all his affairs, especially at times of fitnah when evil is widespread. He should be smart and avoid falling into the misguidance of those who have earned Allaah’s anger and who have gone astray, and the evildoers who have no fear of Allaah and who do not have any pride in being Muslims. The Muslim must turn to Allaah and seek His guidance and remain steadfast in following it, for there is no Guide except Allaah and no one can make a person steadfast but Him. And Allaah is the source of strength. May Allaah send blessings and peace upon our Prophet Muhammad and his family and companions. End quote.
 
3 – Shaykh Ibn Jibreen (may Allaah preserve him) was asked: 

Among our young men and women it has become common to celebrate Valentine’s Day, which is named after a saint who is venerated by the Christians, who celebrate it every year on February 14, when they exchange gifts and red roses, and they wear red clothes. What is the ruling on celebrating this day and exchanging gifts?

He replied: 

Firstly: it is not permissible to celebrate these innovated festivals, because it is an innovation for which there is no basis in Islam. It comes under the heading of the hadeeth of ‘Aa’ishah (may Allaah be pleased with her), according to which the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “Whoever introduces anything into this matter of ours that is not part of it will have it rejected.”

Secondly: it involves imitating the kuffaar and copying them by venerating that which they venerate and respecting their festivals and rituals, and imitating them in something that is part of their religion. In the hadeeth it says: “Whoever imitates a people is one of them.”

Thirdly: it results in evils and haraam things such as wasting time, singing, music, extravagance, unveiling, wanton display, men mixing with women, women appearing before men other than their mahrams, and other haraam things, or things that are a means that leads to immorality. That cannot be excused by the claim that this is a kind of entertainment and fun. The one who is sincere towards himself should keep away from sin and the means that lead to it.
 
And he said:
 
Based on this, it is not permissible to sell these gifts and roses, if it is known that the purchaser celebrates these festivals or will give these things as gifts on those days, so that the seller will not be a partner of the one who does those innovations. And Allaah knows best. End quote.
 
And Allaah knows best.

Islam Q&A
 
 
 

Saturday, February 13, 2016

Signification du verset « Et comportez-vous convenablement envers elles (femmes). » | Meaning of the Verse "And Live With Them (Wives) Honorably."


[Français]


Signification de « Et comportez-vous convenablement envers elles. » [An-Nisâ’ 4 : 19]


Une courte explication du verset et de ce que tout cela implique comme droit d’une femme comme illustré par les Compagnons du Prophète Muhammad et ses héritiers (c.-à-d. savants de l’Islam)


a) Shaykh al-Qurtubî a commenté :


فأمر الله سبحانه بحسن صحبة النساء إذا عقدوا عليهنّ لتكون أْدْمَةُ ما بينهم وصحبتهم على الكمال، فإنه أهْدأُ للنفس وأَهْنَأ للعيش. وهذا واجب على الزوج ولا يلزمه في القَضَاء. وقال بعضهم: هو أن يتصَنّع لها كما تتصنَع له.
. قال يحيى بن عبدالرحمن الحنظلي: أتيت محمد بن الحنفية فخرج إلي في مِلْحَفَة حمراءَ ولِحيتُه تقطُر من الغَالِية، فقلت: ما هذا؟ قال: إن هذه المِلحفة ألقتها علي امرأتي ودهنْتني بالطِّيب، وإنهن يشتهين منا ما نشتهيه منهن، وقال ابن عباس رضي الله عنه: إني أحِب أن أتزينّ لامرأتي كما أحِب أن تتزينّ المرأة لي. وهذا داخل فيما ذكرناه.


Allah a ordonné d’être bon envers les femmes, quand on fait le Nikâh avec elles pour que la relation reste la meilleure. Ceci est relaxant pour le Nafs (âme) et la vie devient plus heureuse. Et ceci est obligatoire pour le mari et il n’y a pas de blâme [sur lui] à [adopter une] concession [ou un accord commun de compromis de sa femme]


Certains (savants) ont dit : « Un homme devrait s’embellir pour sa femme, comme la femme s’embellit pour son mari. »


Yahyâ bin `Abdul Rahman al-Handhalâ a dit : « Je suis allé voir Muhammad bin Hanafiyyah et il est sorti en portant un châle rouge et sa barbe était pleine de parfum, je lui ai interrogé à ce sujet, il a répondu : Ce châle m’a été donné par ma femme et elle m’a parfumé. Elles (les femmes) désirent la même chose de nous que ce que nous désirons pour elles.


Ibn `Abbâs (RadiAllâhu `Anhu) a dit : « J’aime m’embellir pour ma femme comme j’aime qu’elle s’embellisse pour moi. » [Cette Athar est dans Sunan al-Bayhaqî]. Tout ce que nous avons mentionné précédemment est compris dans cela. (Fin de citation)


b) Al-Âlûsî a commenté :


{ وَعَاشِرُوهُنَّ } أي خالقوهن { بِٱلْمَعْرُوفِ } وهو ما لا ينكره الشرع والمروءة، والمراد هٱهنا النصفة في القسم والنفقة، والإجمال في القول والفعل.


« Et comportez-vous », signifie avoir une bonne conduite avec elles, et « convenablement » se réfère à ce qui n’est pas connu pour être répréhensible dans la Sharî`ah ou par vertu commune. Ce qui est entendu ici est d’être juste avec elles en termes de passer la nuit avec elles, de subvenir à leurs besoins, et de les traiter d’une bonne manière en œuvres et paroles. [Fin de citation Ruh al Ma`ni islamweb]


c) Ibn Kathîr a dit :


" أي : طيِّبوا أقوالَكم لهنَّ ، وحسِّنوا أفعالَكم وهيئاتكم حسب قدرتكم كما تحبُّ ذلك منها ، فافعل أنت بها مثله كما قال تعالى : ( وَلَهُنَّ مِثْلُ ٱلَّذِى عَلَيْهِنَّ بِٱلْمَعْرُوفِ )


C.-à-d., parlez gentiment avec elles, traitez-les bien et faites attention à vos œuvres et à votre apparence autant que vous le pouvez; ce que vous aimeriez qu’elle fasse pour vous, faites la même chose pour elle.

Allâh a dit (interprétation du sens) :


« Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance. »


[Al-Baqarah 2 : 228] (Fin de citation) [Islamqa]


d) Imâm At-Tabarî (qu’Allah lui fasse miséricorde) a commenté :


ولكن عاشروهنّ بـالـمعروف وإن كرهتـموهن، فلعلكم أن تكرهوهنّ، فتـمسكوهنّ، فـيجعل الله لكم فـي إمساككم إياهنّ علـى كره منكم لهنّ خيراً كثـيراً من ولد يرزقكم منهنّ، أو عطفكم علـيهنّ بعد كراهتكم إياهن.


Et comportez-vous convenablement envers elles même si vous avez de l’aversion envers elles, car peut-être que si vous aviez de l’aversion envers elles, mais vous les gardez, Allah peut apporter beaucoup de bien à travers votre garde d’elles, comme des enfants avec qui Il vous bénit à travers elles, ou vous rend compatissant envers elles après avoir eu de l’aversion envers elles.

Tafsîr At-Tabarî (8/122) Islamqa


- par Why The Shariah

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[English]

Meaning of "And live with them honourably." [an-Nisa’ 4:19].


A short explanation of this verse and what all it entails as the right of a woman as illustrated by the companions of the Prophet Muhammad and his inheritors (i.e. scholars of Islam)


a) Shaykh al Qurtubi commented:

فأمر الله سبحانه بحسن صحبة النساء إذا عقدوا عليهنّ لتكون أْدْمَةُ ما بينهم وصحبتهم على الكمال، فإنه أهْدأُ للنفس وأَهْنَأ للعيش. وهذا واجب على الزوج ولا يلزمه في القَضَاء. وقال بعضهم: هو أن يتصَنّع لها كما تتصنَع له.
. قال يحيى بن عبدالرحمن الحنظلي: أتيت محمد بن الحنفية فخرج إلي في مِلْحَفَة حمراءَ ولِحيتُه تقطُر من الغَالِية، فقلت: ما هذا؟ قال: إن هذه المِلحفة ألقتها علي امرأتي ودهنْتني بالطِّيب، وإنهن يشتهين منا ما نشتهيه منهن، وقال ابن عباس رضي الله عنه: إني أحِب أن أتزينّ لامرأتي كما أحِب أن تتزينّ المرأة لي. وهذا داخل فيما ذكرناه.

Allah ordered to be good to women, when doing nikah with them so that the relation remains the best. This is relaxing for the Nafs (soul) and the life becomes happier. and this is obligatory upon the husband and there is no blame [on him] in [adopting a] concession [or mutual agreement of compromise from his wife]

Some (scholars) said: "A Man should beautify himself for his wife, like his wife beautify herself for her husband".

Yahya bin Abdul Rahman al Hanzala said: I went to Muhammad bin Hanafiya and he came out wearing a red shawl and his beard was full of fragrance, I asked him about it, he replied: this shawl is given to me by my wife and she wore me fragrance. They (the wives) desire same from us as we desire for them.

Ibn Abbas (r.a) said: "I love that I beautify myself for my wife just like I love that she beautifies herself for me."[The athar is in Sunan al Bayhaqi]. Whatever we have mentioned before is included in it. (end quote)


b) al Alusi commented


{ وَعَاشِرُوهُنَّ } أي خالقوهن { بِٱلْمَعْرُوفِ } وهو ما لا ينكره الشرع والمروءة، والمراد هٱهنا النصفة في القسم والنفقة، والإجمال في القول والفعل.

{And live with them}, means having good conduct with them, and {in kindness.} refers to what is not known to be reprehensible in the Shari`ah or by common virtue. What is meant here is to be just with them in terms of spending the night with them, providing for them, and treating them in a good manner in deed and word.” [End of quote Ruh al Ma`ani islamweb]


c) Ibn Katheer said:

" أي : طيِّبوا أقوالَكم لهنَّ ، وحسِّنوا أفعالَكم وهيئاتكم حسب قدرتكم كما تحبُّ ذلك منها ، فافعل أنت بها مثله كما قال تعالى : ( وَلَهُنَّ مِثْلُ ٱلَّذِى عَلَيْهِنَّ بِٱلْمَعْرُوفِ )

i.e., speak kindly to them, treat them well and pay attention to your deeds and your appearance as much as you can; as you would like her to do for you, do the same for her. Allaah says (interpretation of the meaning):

“And they (women) have rights (over their husbands as regards living expenses) similar (to those of their husbands) over them (as regards obedience and respect) to what is reasonable”

[al-Baqarah 2:228] (end quote) [Islamqa]


d) Imam at-Tabari (may Allah have mercy on him) commented:

ولكن عاشروهنّ بـالـمعروف وإن كرهتـموهن، فلعلكم أن تكرهوهنّ، فتـمسكوهنّ، فـيجعل الله لكم فـي إمساككم إياهنّ علـى كره منكم لهنّ خيراً كثـيراً من ولد يرزقكم منهنّ، أو عطفكم علـيهنّ بعد كراهتكم إياهن.

Live with them honourably, even if you dislike them, for perhaps if you dislike them but you keep them, Allah may bring about a great deal of good through your keeping them despite your disliking them, such as children with whom He blesses you through them, or making you compassionate towards them after having disliked them.

Tafseer at-Tabari (8/122) Islamqa



- via Why The Shariah